Ils dirigent le flux des hommes des bêtes des végétaux. Ils conçoivent puis confectionnent la dureté ou la molasse souple des esprits métaux sous terre. Au sein du vacarme des géants prisonniers, le Vril, des chaînes qui les tiennent captifs au fond des pays Tartares!

Ils siègent au Soleil, Aesirs, le regard scrutateur. Empalent de leurs yeux l’édifice des époques métallifères. Emploient leur Éternité à planifier, le mouvement des continents, le déplacement des fleuves et des rivières jusqu’au ruisseaux secs. Ils empoignent, abattent les civilisations qui naissent vivent & meurent par leur seul céleste volonté.

L’être humain n’est que jouet. Tragique. Comique. Triste et ridicule. À refaire avec, grâces à des nouvelles épures, le design idéal organique ou en quartz ou avec des formes pensées, une nouvelle créature digne; une chaussure neuve à leur pied théarque. Gants à leur prouesse pantouflarde. Hôtes aux grimaces et pleurs. Pantins. Vêtement charnel et support véhiculaire de leur jeu mascarade. Eux qui sont ceux qui vivent.

Ils créent les Races qui ont été, sont et ne seront plus. Au Haut ils siègent en Maîtres infatigables. Cet arbre qu’ils chevauchent à travers 9 limites atmosphères, est un milieu immobile et mouvement indéfinis. Le Soleil est comme une geôle pour leur immortalité.

Je vous dis que comme un pilote collectif ils font tournoyer les mécaniques internes au sein du Soleil qui naviguent dans l’océan des mers célestes. Ils combinent démontent re-combinent sans cesse le destin des êtres somnambules, ainsi pour leur plus grande joie et divine distraction. Ancestral jadis aïeux c’est eux et elles qui habitent le confort des altitudes loin dans l’espace semblant sidéral!

Le Soleil est leur Oeil Unique, descendu du Nord jadis. Quand la Terre ne tournait pas. Les Saisons n’en étaient qu’une seule douce et candide. Tiède et diaphane.

Mais dans le topsy-turvi des vannes et vagues fractales, syncopées, le jus, la sève des êtres s’écoule comme miel du pot, dans le devenir intangible des sessions incalculables. C’est le Soleil qui les ensorcèle. Leurs Pères leurs Mères leurs enfants défunts y sont dedans, dans le retour cyclique du Soleil Invaincu.

Sourced From depuis le Haut du Ciel – l’aryensoufi (substack.com)

1 COMMENT

Comments are closed.